歌手:Loïc Nottet
专辑:《Addictocrate》

作词 : Loïc Nottet
作曲 : Loïc Nottet/Mathieu Frings/Prinzly
Aujourd'hui quand je regarde les séries j'pense à ma gueule
Les acteurs ont rajeuni
Et ce d'un seul coup, d'un seul
J'veux retrouver mon passé
Un jour sans l'once d'une pensée
Inspirer la sérénité
Faire preuve d'impartialité

J'veux revivre ces soirées d'été
Ces fêtes d'absurdités
Les années m'ont manqué
J'aime y penser
Je veux vivre sur une matinée
Ces moments de fêtes arrosées
Car même si l'souvenir est ancré

J'vis mal que mon enfance ait tiré sa révérence
J'pleure l'adolescence et ses crises d'existence
Rends-moi le premier baiser d'un amour de vacances
A mon tour je laisse ma chance

On dit plus de phrases du genre
" C'était beaucoup mieux avant "
J'trouve ça trop décourageant, d'croire le passé mieux qu'le présent
J'veux revoir l'adolescent et sa peine de cœur à 16 ans
L'empêcher de quitter l'enfance
Être sans s'voir à contre-sens

J'veux revivre ces soirées d'été
Ces fêtes d'absurdités
Les années m'ont manqué
J'aime y penser
Je veux vivre sur une matinée
Ces moments de fêtes arrosées
Car même si l'souvenir est ancré

J'vis mal que mon enfance ait tiré sa révérence
J'pleure l'adolescence et ses crises d'existence
Rends-moi le premier baiser d'un amour de vacances
À mon tour je laisse ma chance

J'vis mal que la jeunesse soit un prêt qu'on nous adresse
Et ce qu'elle nous délaisse en échange de sagesse
Non pas j'pleure les premiers vers sans une once de détresse
A mon tour je prend ce qui reste

J'veux revivre ces moments précieux
Quand tout était merveilleux
Lorsque tout n'était qu'un jeu, moins ambitieux
J'veux revivre ces instants dangereux
S'en foutre qu'ils soient douloureux
Foncer même si c'est foireux

J'vis mal que mon enfance ait tiré sa révérence
J'pleure l'adolescence et ses crises d'existence
Rends-moi le premier baiser d'un amour de vacances
À mon tour je laisse ma chance

J'vis mal que la jeunesse soit un prêt qu'on nous adresse
Et ce qu'elle nous délaisse en échange de sagesse
Non pas j'pleure les premiers vers sans une once de détresse
A mon tour je prend ce qui reste